Voici le deuxième et dernier volet de mon récit sur l’exposition Dior au musée des Arts Décoratifs de Paris (premier article ici). Une semaine est passée mais je n’oublie rien de tout ce que j’ai pu voir. Comme une boîte de Pandore, cette rétrospective reste l’une des plus belle que j’ai vue !
Pour la suite de l’exposition, la maison Dior nous fait traverser les années avec des collections passant de féeriques à modernes.
Une femme qui m’inspire beaucoup et dont le travail est exceptionnel. Savoir lier l’histoire de Monsieur Dior, notre époque et le savoir-faire français pour moi c’est tout simplement du génie !
Il y a également une salle que l’on traverse, dans laquelle de nombreuses toiles sont installées. Par toiles, j’entends les modèles de robes réalisés sur toile avant la fabrication définitive. Ces toiles sont comme des brouillons de robe, mais dans une matière bien moins coûteuse. Une chose que l’on voit plutôt rarement dans les musées ou les expositions. Ces esquisses de robes sont pourtant le fil rouge du travail d’un couturier. Elles sont couramment utilisées mais rarement montrées. Pouvoir voir des toiles de robes très anciennes fut une expérience unique.




Le plus extraordinaire de l’exposition et ce que l’on ne peut sans doute pas décrire avec des mots reste le final. On se croirait dans un show. Des miroirs partout, une lumière bleue nuit, des brillants, des paillettes, du métal luisant. Tout pour émerveiller le regard, dont une sorte de pyramide sur laquelle des mannequins portent des tenues de gala. Comme cette robe Cléopâtre que vous voyez sur la première photo de l’article.
Et pour terminer le tout, les robes des galas portées cette année. On les voudrait toutes pour soi !
Encore une fois, n’hésitez pas à vous y rendre avant que ce soit terminé ! Vite, vite, vite !!!
tél. : +33 (0)1 44 55 57 50 +






Merci pour ce superbe reportage !
J’aurai aimé voir cette expo !
Merci à toi !